Ne voulant pas directement commencer mon stage par des activités d'apprentissages, sans connaitre mes élèves, j'ai moi-même fait la demande pour faire une petite activité de présentation afin d'apprendre à connaitre les enfants.
J'ai donc décidé de faire des fagnons de présentation.
Chaque enfant a reçu un fagnon qu'il a du compléter et sur lequel il a dû se dessiner.
Ce qui a été :
Les enfants ont été très réceptifs à mon activité et ont tout de suite joué le jeu. Ma maitre de stage et moi-même avons également rempli un fagnon et nous nous sommes ensuite tous présentés à la classe. Mon matériel était prêt et bien fait.
Ce qui n'a pas été :
Rien ne s'est mal passé. La seule chose qui m'a un peu déçue est le fait que je n'ai pas pu accrocher ma guirlande de fagnons en classe.
J'ai introduit la notion de nombres négatifs à l'aide d'un jeu appelé "échelles et serpents". Les enfants ont joué plusieurs fois et, au bout d'un moment, je les ai arrêtés. J'ai envoyé un enfant au tableau et celui-ci a dû noter les numéros de chacune des cases sur lesquelles les différents pions étaient posés.
De là, les enfants sont retournés à leur place et ont dû faire un classement croissant de ces différents nombres. Ils ont ensuite confronté leurs idées et ont placé, ensemble, les nombres récoltés sur une droite des nombres.
La mise en commun de cette droite des nombres a marqué la fin de ma découverte.
Ce qui a été :
Ce qui n'a pas été :
Si c'était à refaire :
Si c'était à refaire, je ferais un plus grand plateau de jeu afin que le jeu soit plus agréable pour les enfants et j'essayerais d'organiser la classe de manière à coller plus de tables afin que les enfants ne soient pas agglutiner autour du coin atelier prévu en classe.
Cette activité est celle qui m'a le plus déçue. J'en ai d'ailleurs parlé à ma pédagogue lors de sa visite.
Mon idée de base était de mettre les enfants en groupe. A chaque groupe, j'aurais donné une enveloppe avec les noms au singulier et leurs compléments au pluriel ainsi que quelques exceptions (en plus petit nombre que les noms illustrant la règle générale) ne travaillant qu'une seule règle sur le pluriel des noms. Dès lors, les enfants aurait reçu un tableau dans lequel ils aurait dû classer leurs noms et trouver la règle correspondant à leur enveloppe. Pour les enfants ayant fini plus tôt, je leur aurais demandé de trouver des exemples supplémentaires à ceux que j'aurais donné.
Chaque groupe serait alors venu présenter leur découverte face à la classe.
Ma maitre de stage a décidé de changer ma leçon et m'a imposé une méthodologie avec laquelle je n'étais pas à l'aise.
En effet, tous les enfants ont dû travailler toutes les règles. Chaque groupe a reçu, petit à petit, 7 tableaux et 7 enveloppes. Cependant, dans les enveloppes, les enfants n'avaient que les noms au singulier. Les enfants ont donc dû mettre les noms au pluriel (sans savoir si c'était juste...) et sortir la règle de leurs différents tableaux.
Tous les tableaux ont ensuite été accrochés au tableau et chaque groupe est venu expliquer leurs 7 découvertes.
Ce qui a été :
Ce qui n'a pas été :
Si c'était à refaire :
Si c'était à refaire, je ferais mon idée car là, les enfants écrivaient au pluriel sans savoir si c'est juste ou non et devant en déduire une règle sur base de ce qu'ils pensaient eux, sans concret ni sûreté. De plus, il y aurait moins de matériel (j'aurais pu faire des format A3 qui auraient été visibles de loin) et les enfants auraient peut-être été plus attentifs.
Connaissant les prérequis des enfants (les propriétés des différents solides), ma phase de mobilisation a donc été amusante pour les enfants et je leur ai présenté ça sous la forme d'un casse tête. En effet, avec des feuilles, des ciseaux, de la colle et un solide préfait, les enfants, en groupe, devaient réussir à trouver un moyen de reproduire le solide qui leur était attribué. Les groupes ayant fini plus tôt recevaient un autre solide, plus compliqué que le précédent.
Chaque groupe est ensuite venu devant la classe pour présenter le ou les développement(s) trouvé (s) et nous avons regardé, ensemble, si ils avaient respecté les caractéristiques des solides formés (nombres de faces, d'arêtes, de sommets...).
Ce qui a été :
Ce qui n'a pas été :
Si c'était à refaire :
Si c'était à refaire, je garderais mon idée mais j'insisterais un peu plus sur les différents développements existants pour un même solide (exemple : il y a 11 développements pour le cube).
Pour cette activité, je m'étais amusée à découper chaque mot de ma poésie afin de les remplacer, au fur et à mesure de l'apprentissage par des images, ou encore dans le but d'en supprimer d'autres jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien.
Avant cela, j'ai joué la poésie devant les enfants et celle-ci leur a plu tout de suite.
Le but de cet apprentissage était de la chanter devant saint Nicolas le 6 décembre, c'est-à-dire, le jeudi qui arrivait. Pour cela, tous les jours à n'importe quel moment de la journée, lorsque nous avions 2 minutes, je leur demandais de la réciter.
Ce qui a été :
Ce qui n'a pas été :
Si c'était à refaire :
Si c'était à refaire, j’agrandirais mes images et les paroles de la poésie, car même si ça n'a pas été un frein et que les enfants savaient lire, je les trouvais quand même un peu petit.
J'avais reçu un conte imposé de l'école que chaque classe devait travailler pour la veillée de Noél qui aurait lieu la semaine suivante.
Le conte : Les feux de l'hiver, de Xiavier Deutsch.
Pour cette activité, je n'avais pas grand chose à faire... J'avais imprimé en A3 les 2 illustrations du chapitre 1 et je les ai accrochées au tableau. J'ai ensuite fait écouter la piste audio et après celui-ci, j'ai posé plusieurs questions aux enfants, d'abord de compréhension , ensuite concernant leur ressenti à l'écoute de l'histoire, sur ce qu'ils pensaient de la pauvreté...
Après cela, ils ont reçu une feuille où ils ont dû coller une des deux illustrations du conte ainsi que la petite prière associée au chapitre 1.
Ce qui a été :
Ce qui n'a pas été :
Si c'était à refaire :
Si c'était à refaire, j'utiliserais mes images, je ferais en sorte que les enfants réfléchissent et se questionnent quant à l'histoire avant de la leur faire écouter. Je ferais surement cela pour le chapitre 2.