Septembre

AVant la rentrée, le début du mois de septembre a été pour moi un mois de gros stress. Le 6 septembre allait être décisif, est-ce que je reste en bac 1 ou est-ce que je vais en bac 2... Telle est la question...

Je me suis donc rendue à l'école le 6 septembre afin d'assister à "la proclamation de la seconde chance" et heureusement, le résultat est positif ! J'étais admise en bac 2 avec mes 60 crédits malgré encore quelques petites choses à travailler.

Je ne lache rien ! 

Le 14 septembre me voilà de retour à l'école, prête à affronter ma seconde année en tant qu'institutrice primaire.

Nous avons tout de suite démarré, pas le temps de traîner ! Les stages sont directement le premier sujet de conversation que nous avons avec nos professeurs.

Il n'y a pas de doute, la deuxième année, ça ne rigole pas ! Dès la première semaine, je suis déjà inondée de stress. Je suis partagée entre la hâte de découvrir ce qui m'attends et la peur de voir ce qui m'attends. 

A part cela, le mois de septembre a été un mois de nouveautés; nouvelle année, nouveaux profs, nouveaux systèmes et nouveaux apprentissages. Comme je le disais, nous avons directement été avertis !

Cependant, heureusement qu’un rappel de l’année passée a été fait au début de certains cours car j’ai pu me remémorer ce qui a avait été vu et j'ai pu bénéficier d'une explication supplémentaire sur ce qui était encore légèrement flous.

Je suis maintenant prête à attaquer cette seconde année !

Par rapport à l’année passée, mes craintes sont les mêmes, m’organiser et surmonter mes lacunes en mathématique principalement mais je suis motivée et je vais m’y mettre directement ! Robin et Laureen sont d’ailleurs devenus officiellement mes profs de math ! 

Quant à mes stages, j’essaie de trouver des solutions pour ne plus que ma gestion du temps soit un problème. Je m’avance dans l’élaboration de ma farde de stage et je réfléchis déjà à ce que je pourrais instaurer dans ma classe, dans mon auto-gestion…

Une autre raison pour laquelle le mois de septembre a été une période de grand stress, est le fait que je n’avais pas de stage au degré supérieur et ce, malgré des dizaines d’appels. J’en ai finalement trouvé un dans une petite école à Jauche en 6^ème primaire. Ouf !

Je constate que je suis vraiment investie dans ce que je fais, je suis sûre de mon choix et j’envisage de plus en plus de faire la passerelle me permettant également d’enseigner en maternelle. Pourquoi n’agir qu’en primaire quand je peux faire plus ?